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| Michaël La Chance est philosophe (esthétique) et écrivain. Professeur en histoire et théorie de l'art à l'UQAC, directeur de la galerie d'art L'Œuvre de l'autre. Membre du CELAT, chercheur FCAR, auteur de nombreux articles de critique d'art et de catalogues d'artistes, et aussi de contributions savantes en esthétique littéraire et visuelle. Il est membre du comité de rédaction de la revue Inter, Art Actuel. Après Carnet du Bombyx, un recueil de poésies récent publié à l'Hexagone, vient de paraître chez Trait d'union, Les penseurs de fer et les sirènes de la cyberculture. A paraître prochainement un essai chez Fidès, La culture Atlantide et un recueil de poésies et photographies Fossés d'amour et d'insomnies chez Trait d'union. |
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Une fiction biopolitique : Le corps larvaire Le débat philosophique du « cerveau dans une cuve » trouve une formulation nouvelle avec l'imaginaire cyberculturel de Neuromancer à Matrix : nous sommes des larves bioélectriques enfermées dans des capsules placentaires. La notion de cybernéoténie permet de poser la question de l'imago à une époque où il apparaît que l'humain doit se générer comme humain.
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